Spectacle suivi d’une rencontre Salle de l’Esplanade.
À la fois intime et politique, Soliloquio interroge la place des corps autochtones, et plus largement des cultures invisibilisées. Des rues de Metz jusqu’à la scène, suivez cet artiste argentin hors norme.
Soliloquio est le deuxième volet d’une trilogie autobiographique de Tiziano Cruz qui trouve son origine dans un événement tragique : en 2015, la mort de sa sœur des suites d’une négligence médicale. L’artiste prend alors conscience de la discrimination des autochtones par le système du pouvoir en place. Artiste argentin queer, ses créations se veulent être un étendard pour l’ensemble des communautés marginalisées. Travaillé en amont avec des associations locales et transfrontalières, Soliloquio prend d’abord la forme d’une déambulation festive dans l’espace public puis se poursuit en salle pour un seul-en-scène. Il y évoque tour à tour sa relation avec sa mère, l’injustice envers les peuples autochtones et la beauté des rencontres faites à l’occasion de son projet participatif
Dans le cadre du projet GRACE, cofinancé par l’UE via le programme Interreg Grande Région 2021/2027. Avec le soutien de l’ONDA.
Déambulation avec le soutien du Escher Theater.
Texte et mise en scène
Tiziano Cruz
Traduction pour le surtitrage
Vy-Dan Savelieff (français)
Assistanat à la mise en scène et à la dramaturgie
Rodrigo Herrera
Lumière
Matías Ramos
Vidéo
Matías Gutiérrez
Son et musique
Luciano Giambastiani
Costumes
Vega Cardozo, Luisa Fernanda, Uriel Cistaro, Luciana Iovane
Relecture textes originaux
Hugo Miranda Campos
Production artistique et design graphique
Luciana Iovane
Production exécutive internationale, direction des tournées et relations internationales
Cecilia Kuska
Production exécutive Ulmus Gestión Cultural.
Coproduction Festival Internacional de Buenos Aires FIBA 2022, Gobierno de la Ciudad de Buenos Aires.
Avec le soutien de Ulmus Gestión Cultural Avec l’aide du Centro Cultural Rojas de la Universidad Nacional de Buenos Aires.
L’œil d’Olivier – Interview – 26 juin 2024 – par Samuel Gleyze-Esteban
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