Le Quatrième Mur

En mélangeant approche documentaire et perspective poétique, Julien Bouffier propose une pièce qui questionne.

Que peut le théâtre contre la barbarie ? Comment faire disparaître le quatrième mur, ce mur symbolique qui sépare les acteurs du public, pour que la scène ne soit pas uniquement un lieu de fiction, mais un lieu où une réalité tangible pourrait être représentée ?
Sur les traces de l’utopie et de la fraternité…


Le Quatrième Mur

En mélangeant approche documentaire et perspective poétique, Julien Bouffier propose une pièce qui questionne.

Que peut le théâtre contre la barbarie ? Comment faire disparaître le quatrième mur, ce mur symbolique qui sépare les acteurs du public, pour que la scène ne soit pas uniquement un lieu de fiction, mais un lieu où une réalité tangible pourrait être représentée ?
Sur les traces de l’utopie et de la fraternité…


Play

Au cœur de sa réflexion, s’approprier ce théâtre de l’absurde à la grammaire minimaliste et à la rigueur répétitive.

La mise en scène interpelle.
Sur scène, quinze comédiens interprètent trois personnages.
Ils ne jouent que sous la partition lumineuse d’un chef d’orchestre.
Leurs paroles ainsi devenues instruments, tous racontent un triangle amoureux avec son lot de quiproquos et de malentendus.
Cette proposition chorale replace les mots au cœur du discours, ici sous la pression et la censure lumineuse.


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Au cœur de sa réflexion, s’approprier ce théâtre de l’absurde à la grammaire minimaliste et à la rigueur répétitive.

La mise en scène interpelle.
Sur scène, quinze comédiens interprètent trois personnages.
Ils ne jouent que sous la partition lumineuse d’un chef d’orchestre.
Leurs paroles ainsi devenues instruments, tous racontent un triangle amoureux avec son lot de quiproquos et de malentendus.
Cette proposition chorale replace les mots au cœur du discours, ici sous la pression et la censure lumineuse.


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Au cœur de sa réflexion, s’approprier ce théâtre de l’absurde à la grammaire minimaliste et à la rigueur répétitive.

La mise en scène interpelle.
Sur scène, quinze comédiens interprètent trois personnages.
Ils ne jouent que sous la partition lumineuse d’un chef d’orchestre.
Leurs paroles ainsi devenues instruments, tous racontent un triangle amoureux avec son lot de quiproquos et de malentendus.
Cette proposition chorale replace les mots au cœur du discours, ici sous la pression et la censure lumineuse.


X-Adra

Debout.
Toutes ont expérimenté les murs d’une prison.
Elles viennent nous parler de liberté.
Militantes de l’opposition syrienne ou engagées dans l’opposition, elles vivent aujourd’hui en France et en Allemagne, contraintes de quitter leur pays.
Peut-on être libre emprisonné en dehors de son pays ?
Avec X-Adra, Ramzi Choukair invite la mémoire.
Ils posent sur scène six femmes et leurs expériences de vie.


X-Adra

Debout.
Toutes ont expérimenté les murs d’une prison.
Elles viennent nous parler de liberté.
Militantes de l’opposition syrienne ou engagées dans l’opposition, elles vivent aujourd’hui en France et en Allemagne, contraintes de quitter leur pays.
Peut-on être libre emprisonné en dehors de son pays ?
Avec X-Adra, Ramzi Choukair invite la mémoire.
Ils posent sur scène six femmes et leurs expériences de vie.


Mes amis "Safe european Home"

« Un vendredi soir en France. Leila, jeune cadre trentenaire, se libère enfin de l’entreprise pour rentrer chez elle et accueillir ses amis. Le rituel de fin de semaine. La fin de l’urgence obscène du travail. Mais ce soir-là ne se passe pas comme les autres vendredis soirs. Ce soir-là en France il y a un événement. Un terrible événement. Et Leila malgré elle se retrouve frappée par la foudre. Happée par l’Histoire. »

Philippe Malone

Quelques mots de Laurent Vacher, directeur artistique et metteur en scène de la Compagnie du Bredin : « Après la création à Berlin est apparue l’impossibilité de présenter le projet dans sa forme d’origine dans le cadre du festival Passages à Metz. Y sera donc présentée uniquement la partie française : Mes amis « safe european home » un texte de Philippe Malone, suivie d’une rencontre/débat autour de la montée des nationalismes en Europe. »

 

+ débat autour de la montée des nationalismes en Europe, en partenariat avec Des Mots et des Débats.


Transe-maître(s)

Mawusi Agbedjidji aborde ici la question de l’héritage, celle de la langue et du langage, précisément de la langue française, il raconte la langue comme un instrument de maîtrise et destruction de l’autre par la soumission.

« Il a pourtant tout essayé, tout. Tout pour que, ni sa langue maternelle, ni les fautes grammaticales, ni les infamies orthographiques ne sortent plus imprudemment de sa bouche dans l’enceinte de l’école mais hélas, le signal, objet pédagogique censeur et gendarme de l’enseignement du français, s’est retrouvé à son cou. Pour éviter de le ramener à la maison, Dzitri a eu l’idée peu glorieuse de le jeter dans le fleuve, celui qui sépare la ville en deux ; qu’advienne que pourra. »


Monstres / On ne danse pas pour rien

Le leitmotiv du chorégraphe congolais DeLaVallet Bidiefono est de construire. Dans une scénographie de Hafid Chouaf rappelant un chantier, sa troupe de neuf danseurs et de trois musiciens multi-instrumentistes bâtissent

une opposition poétique au régime en place. Ils ne dansent pas pour rien. Dans le même temps, les fruits de ce travail chorégraphique permettent de continuer à financer le centre de développement chorégraphique Baning’Arte, en périphérie de Brazzaville.

Ce spectacle de danse contemporaine se veut à l’image de la vie artistique au Congo : le groupe, l’énergie du groupe, la liberté du groupe, la solidarité du groupe. Tous sur le chantier pour voir cet ensemble de corps qui se synchronise pour construire la vie culturelle de son pays.