Babel Guyane

Suite à sa rencontre avec le comédien Roberto Jean, né en Haïti, immigré à l’âge de 7 ans en Guyane, parti à Paris pour ses études théâtrales puis revenu diplômé du Théâtre National de Strasbourg, Ricardo Lopez Muñoz pose un regard croisé sur cette histoire personnelle faisant écho à une réalité de la société guyanaise.

Replacé sur le plateau, Roberto Jean, accompagné des comédiens Olivier Bemer et Pablo Lopez Chausse, questionne un parcours rêvé quand il est vu de loin mais rugueux et chaotique vu de son for intérieur.
« Je ne suis pas ce que vous voyez »


Babel Guyane

Suite à sa rencontre avec le comédien Roberto Jean, né en Haïti, immigré à l’âge de 7 ans en Guyane, parti à Paris pour ses études théâtrales puis revenu diplômé du Théâtre National de Strasbourg, Ricardo Lopez Muñoz pose un regard croisé sur cette histoire personnelle faisant écho à une réalité de la société guyanaise.

Replacé sur le plateau, Roberto Jean, accompagné des comédiens Olivier Bemer et Pablo Lopez Chausse, questionne un parcours rêvé quand il est vu de loin mais rugueux et chaotique vu de son for intérieur.
« Je ne suis pas ce que vous voyez »


Tandem - Terra Patrum

À la mort d’Arno Schwieck, du même nom que son petit village de Basse-Bavière, deux héritiers se rencontrent. L’un est un apatride venu de l’Est, il a été recueilli par Arno il y a des années. Il habite le village et cette maison depuis longtemps maintenant. Il a prouvé sa valeur. Il a été initié. Il fait partie de Schwieck. L’autre est un fils inconnu, conçu et oublié en France. Il ne parle pas la langue de Schwieck. Il y vient pour la première fois et n’a pas l’intention d’y revenir. Il est de passage. En ce jour de la célébration

de la « Fête de la Fondation », qui est l’étranger ? La mort a pris place et les vivants ne connaissent pas la leur, tout peut donc s’inventer. La nuit et l’alcool portent conseil pendant que sous terre, des liens invisibles se resserrent.


Tandem - Terra Patrum

À la mort d’Arno Schwieck, du même nom que son petit village de Basse-Bavière, deux héritiers se rencontrent. L’un est un apatride venu de l’Est, il a été recueilli par Arno il y a des années. Il habite le village et cette maison depuis longtemps maintenant. Il a prouvé sa valeur. Il a été initié. Il fait partie de Schwieck. L’autre est un fils inconnu, conçu et oublié en France. Il ne parle pas la langue de Schwieck. Il y vient pour la première fois et n’a pas l’intention d’y revenir. Il est de passage. En ce jour de la célébration

de la « Fête de la Fondation », qui est l’étranger ? La mort a pris place et les vivants ne connaissent pas la leur, tout peut donc s’inventer. La nuit et l’alcool portent conseil pendant que sous terre, des liens invisibles se resserrent.


Les verdicts guyanais

Dix ans après la mise en place de son dispositif, les membres du Théâtre de l’Entonnoir s’assoient au plateau afin d’écrire le réel parcours de celles et ceux qui sont passés entre leurs murs. 

Avoir 16 ans en Guyane, partir puis revenir, et aujourd’hui en avoir 26. Des questions que se posent sur le plateau le metteur en scène Roberto Jean, issu de l’ESAD du Théâtre National de Strasbourg, et son équipe. Réussir… Et la Guyane dans tout ça ? Réussir… Sous le regard de ses pères.


Les verdicts guyanais

Dix ans après la mise en place de son dispositif, les membres du Théâtre de l’Entonnoir s’assoient au plateau afin d’écrire le réel parcours de celles et ceux qui sont passés entre leurs murs. 

Avoir 16 ans en Guyane, partir puis revenir, et aujourd’hui en avoir 26. Des questions que se posent sur le plateau le metteur en scène Roberto Jean, issu de l’ESAD du Théâtre National de Strasbourg, et son équipe. Réussir… Et la Guyane dans tout ça ? Réussir… Sous le regard de ses pères.


Tandem - Terra Patrum

À la mort d’Arno Schwieck, du même nom que son petit village de Basse-Bavière, deux héritiers se rencontrent. L’un est un apatride venu de l’Est, il a été recueilli par Arno il y a des années. Il habite le village et cette maison depuis longtemps maintenant. Il a prouvé sa valeur. Il a été initié. Il fait partie de Schwieck. L’autre est un fils inconnu, conçu et oublié en France. Il ne parle pas la langue de Schwieck. Il y vient pour la première fois et n’a pas l’intention d’y revenir. Il est de passage. En ce jour de la célébration

de la « Fête de la Fondation », qui est l’étranger ? La mort a pris place et les vivants ne connaissent pas la leur, tout peut donc s’inventer. La nuit et l’alcool portent conseil pendant que sous terre, des liens invisibles se resserrent.


Je Hurle

Témoigner, hurler ? Des paroles qui traversent les frontières.
Je Hurle est un récit documentaire et musical sur la résistance de femmes qui risquent leur vie pour s’exprimer artistiquement et librement. L’expression de l’insoumission de ces femmes afghanes se vit à travers une poésie concrète et fulgurante.

Ce spectacle témoigne de leur courage et pousse un cri de liberté au-delà des frontières. En donnant voix à leurs mots, en éclairant leurs paroles, la compagnie La Soupe fracasse les frontières avec un théâtre de marionnettes musical riche et inventif.

+ Lien vidéo : La compagnie La Soupe en répétitions


Après les ruines

Depuis 2016, la Cie Pardès rimonim a mis en place un important travail de collecte, autour des notions d’exil et de frontières – tant géographiques que mentales – sur tout le territoire lorrain. Au sein des centres d’accueil de demandeurs d’asile de l’AMLI réseau Batigère, auprès de la population du quartier classé ZUS de La Patrotte, dans des foyers séniors répartis sur le territoire régional, ou dans l’atelier « El Warsha » mis en place à l’Espace BMK avec le festival Passages, ouvert aux réfugiés nouvellement arrivés et aux habitants de la ville, ils demandent à ces personnes, d’âges, d’origines et de milieux sociaux très variés de parler de leurs exils.

Parce que l’actualité des médias est aussi nos réalités, la compagnie théâtrale Pardès rimonim a été à la rencontre de réfugiés, de travailleurs sociaux et de gens croisés au hasard des rues pour parler d’exil, d’asile et de frontières, tant géographiques que mentales. À la croisée du théâtre documentaire et de l’expérience musicale et visuelle, dans une simplicité nue et poétique, l’équipe artistique nous transmet ce que ces rencontres ont créé chez eux. Une conversation entre le réel et la fiction, la grande histoire et le mythe, l’œuvre et le public.

+ d’infos sur l’activité de la compagnie : ciepardes.com


La Tablée

Pour les personnes présentes autour de ce repas, le Printemps Arabe n’a jamais eu lieu. La Révolution ne gronde plus que dans les cœurs, et les fumigènes ont laissé la place aux vapeurs de l’alcool. Pourtant, le conflit gronde au dehors, et l’Étranger, personnage énigmatique venu de partout et de nulle-part, invite la zizanie autour de la Tablée.

Ces échanges initient la trame de cette histoire de rencontres entre des êtres, des cultures et des révoltes.

+ d’infos sur l’activité de la compagnie : www.heures-paniques.fr